Pour sa réouverture, le musée des beaux-arts de Lyon offre une exposition galvanisante, émaillée de découvertes et de surprises. L’occasion unique de pénétrer au cœur du processus créatif collaboratif de trois frères, artistes et complices au XIXe siècle.
Q u’évoque aujourd’hui le nom de Flandrin ? D’aucuns penseront au décor de l’église Saint-Germain-des-Prés à Paris, ou à celui de la basilique d’Ainay, à Lyon. Ou encore au Jeune homme nu assis sur un rocher, au bord de la mer du Louvre, devenu une icône, même si l’on n’en connaît toujours pas l’auteur. Grand bien a donc pris au musée des beaux-arts de faire (re)découvrir l’art d’Hippolyte Flandrin – qui fut un peintre célèbre et célébré en son temps – et de ses deux frères, Paul et Auguste. Véritables self-made men tombés dans l’oubli à l’aube…
com.dsi.gazette.Article : 24786
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